Le danger des médias qui cache le comportement pervers rampant du public.
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Die Gefahr von Medien, die zügelloses böses Verhalten vor der Öffentlichkeit verbergen.
A lot of disinformation is targeted at people who seek the truth. When I was examining the “truth movement”, I learned that its leadership was not authentic at all.
The book, Eichmann in Israel, by Hannah Arendt gives a portrait on the kind of person who gets subverted into evil by an evil system. It all starts with someone devoid of empathy. Arendt also shows the danger of a complicit media which fails to warn humanity of what they’re up against.
Une grande partie de la désinformation vise les personnes qui recherchent la vérité. Lorsque j'examinais le «mouvement de la vérité», j'ai appris que son leadership n'était pas du tout authentique. Le livre, Eichmann en Israël, de Hannah Arendt donne un portrait du genre de personne qui est subvertie au mal par un système pervers.
Tout commence avec quelqu'un dépourvu d'empathie. Arendt montre également le danger d’un média complice qui n’avertit pas l’humanité de ce à quoi elle se heurte.
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La mémoire défectueuse d'Eichmann en ce qui concerne les mots d'ordre ingénieux peut être une indication qu'il existait d'autres dispositifs plus efficaces pour résoudre le problème de la conscience.
Le plus important d'entre eux était, comme Hitler l'avait bien prévu, le simple fait de la guerre. Eichmann a insisté à maintes reprises sur «l'attitude personnelle différente» envers la mort quand «des morts étaient vus partout», et quand tout le monde attendait sa propre mort avec indifférence: «On ne se souciait pas si nous mourions aujourd'hui ou seulement demain, et là étaient des moments où nous avons maudit le matin qui nous a trouvés encore en vie."
Particulièrement efficace dans cette atmosphère de mort violente était le fait que la solution finale, dans ses derniers stades, ne se faisait pas par tir, donc par violence, mais dans les usines à gaz, qui, du début à la fin, étaient étroitement liées à la «programme d'euthanasie» ordonné par Hitler dans les premières semaines de la guerre et appliqué aux malades mentaux en Allemagne jusqu'à l'invasion de la Russie.
Le programme d'extermination qui a débuté à l'automne 1941 s'est déroulé, pour ainsi dire, sur deux voies tout à fait différentes. Une piste menait aux usines à gaz, et l'autre aux Einsatzgruppen, dont les opérations à l'arrière de l'armée, notamment en Russie, étaient justifiées par le prétexte de la guerre partisane, et dont les victimes n'étaient nullement des juifs.
En plus des vrais fonctionnaires, les Tsiganes, les asociaux, les fous et les juifs. Les Juifs ont été inclus comme «ennemis potentiels», malheureusement, il a fallu des mois avant que les Juifs russes ne comprennent cela, et il était alors trop tard pour se disperser. (L'ancienne génération se souvenait de la Première Guerre mondiale, lorsque l'armée allemande avait été accueillie comme des libérateurs; ni les jeunes ni les vieux n'avaient entendu quoi que ce soit sur «la façon dont les Juifs étaient traités en Allemagne, ou, d'ailleurs, à Varsovie»; ils étaient "remarquablement mal informés", comme le rapportent les services de renseignement allemands depuis la Russie blanche [Hilberg]. Plus remarquable, parfois même des Juifs allemands arrivaient dans ces régions sous l'illusion qu'ils avaient été envoyés ici comme "pionniers" du Troisième Reich.)
Viele Desinformationen richten sich an Menschen, die nach der Wahrheit suchen. Als ich die „Wahrheitsbewegung“ untersuchte, stellte ich fest, dass ihre Führung überhaupt nicht authentisch war. Das Buch Eichmann in Israel von Hannah Arendt gibt ein Porträt über die Art von Person, die von einem bösen System in das Böse verwandelt wird.
Alles beginnt mit jemandem ohne Empathie. Arendt zeigt auch die Gefahr eines mitschuldigen Nachrichten Medien, das die Menschheit nicht davor warnt, was sie erwartet.