Comment une sous-culture a lavé le cerveau de l'Amérique.
Thomas M. Doran
Tirons le rideau et jetons un coup d'œil au sorcier; c'est-à-dire, si nous avons encore des yeux pour voir. Il n'y a pas trop de décennies, il y avait un solide consensus américain selon lequel la fidélité dans le mariage, la masculinité et la féminité complémentaires, la croyance en un Dieu bienveillant et le fait d'élever des enfants étaient de bonnes choses.
Personne n'a besoin d'être informé que les choses sont différentes maintenant, et beaucoup sont convaincus que les changements sont pour le mieux.
Alors, comment est-ce arrivé? Ces changements ne se sont pas produits de façon organique; c'est-à-dire par une large évolution dans la perspective des Américains.
Au contraire, cette transformation a été dirigée par une sous-culture avec un intérêt direct. Comme les Jacobins à la fin du XVIIIe siècle, une sous-culture intéressée a utilisé des préoccupations légitimes concernant les droits des femmes et les violations des droits des minorités pour diriger son programme.
Ainsi, l'objectif de cette sous-culture n'était pas la justice mais la transformation totale de la culture; comme une maison avec des problèmes électriques dans plusieurs pièces, nous n'avons pas recâblé les pièces problématiques, nous avons rasé la maison au bulldozer.
En utilisant le système éducatif, les médias et l'industrie du divertissement, cette sous-culture a tenté de convaincre les Américains que son programme était normatif et que les croyances traditionnelles sur la foi et la moralité étaient primitives et répressives.